15 septembre 2010

Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai accroché au bodhràn. Y a juste eu ce rêve un jour, j'en jouais, bien en plus. Au réveil, j'ai eu une sorte d'illumination et trois jours plus tard, j'en avais un vrai dans les bras.

Jenny with bodhràn by Elfland

C'est peut être son aspect vaguement inquiétant, macabre. Le bodhràn était jadis un tambour de guerre. À moins que ça ne soit le côté plus terrien, les coups sourds qui raisonnent dans la poitrine, la torsion du poignet, ce cadre qu'on enlace comme un ami.