20 juin 2010

Je n'aime rien tant que ces moments ou l'été se décompose. Le retour de l'humidité piquante, la fraîcheur aromatique et un gris trop lumineux pour croire à octobre. Le climat idéal pour lire un classique capiteux (l'Idiot, au hasard) et savourer un Earl Grey mouillé de lait.
Il paraît d'ailleurs que c'est mauvais pour la santé. Tant mieux, la cigarette qui suit n'est que plus délectable.